[vc_row][vc_column width=”1/2″][vc_column_text css=”.vc_custom_1463579208789{margin-bottom: 5px !important;}”]Des heures de repas fixes et des intervalles plus longs entre les prises alimentaires permettent d’avoir du temps pour bruler les graisses.

Le carême, c’est la possibilité pendant 40 jours de changer notre vie en pratiquant le renoncement et la modération, et de bénéficier en prime de la perte de poids. Il y a beaucoup de méthodes pour y arriver. En plus des tendances phares de l’année dernière comme le régime Law Carb (abréviation de « low carbohydrates », pour désigner un régime pauvre en glucides), les cures de Detox ou encore le régime alcalin, il y a toujours de nouveaux concepts qui promettent l’expérience ultime du jeûne et intrinsèquement de la perte de poids. Connaissez-vous par exemple « Le Forking » ? Il s’agit simplement de n’utiliser qu’une fourchette lors du repas du soir. Se passer de cuillère, de couteau et ne pas utiliser les doigts, permettrait le contrôle de la quantité et de la nature des aliments ingérés.

[/vc_column_text][vc_column_text css=”.vc_custom_1463579232717{margin-bottom: 5px !important;}”]Face à l’engouement de l’homme moderne pour le jeûne, la nouvelle découverte scientifique tombe bien : « Le corps est par nature programmé pour le jeûne » selon le biologiste Mark Mattson du National Institute of Aging de Baltimore. Des heures de repas fixes couplées avec des intervalles longs entre les prises alimentaires – en particulier la nuit – permettent, selon Mark Mattson, non seulement d’améliorer le métabolisme, mais aussi de réduire son poids.

[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width=”1/2″][vc_single_image image=”11901″ img_size=”full” alignment=”center” onclick=”link_image”][vc_column_text css=”.vc_custom_1463580162009{margin-bottom: 5px !important;}”]

Ce qui compte, c’est quand on mange, pas ce qu’on mange

Avoir un rythme de repas qui reflète nos horloges biologique internes plutôt que notre trépidante vie moderne, c’est aussi ce que préconise, le chrono-biologiste Jan-Dirk Fauteck et le médecin Thomas M. Platzer, spécialiste de la médecine préventive. «  L’important n’est pas seulement ce que nous mangeons, mais bien plus quand nous mangeons » disent ces deux spécialistes dans leur livre intitulé « La Chrono-diète ». On donne ainsi à son organisme une certaine « routine à la place du chaos » évitant la production permanente d’hormones de stress et d’autres hormones. Les effets biochimiques qui en découlent permettent ainsi une amélioration générale de la santé.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width=”1/2″ offset=”vc_hidden-sm vc_hidden-xs”][vc_column_text css=”.vc_custom_1463578482775{padding-top: 10px !important;padding-bottom: 10px !important;padding-left: 10px !important;background-color: #fff468 !important;border-radius: 5px !important;}”]

La glycémie

La glycémie correspond au taux de sucre dans le sang. Après un repas la glycémie augmente plus ou moins par à-coups. Plus l’augmentation est forte, plus le corps verse de l’insuline afin de réduire le taux glycémique. Le sucre est alors stocké dans les tissues graisseux

Par la prise de trois repas par jour la glycémie varie moins. Le corps bénéficie de phases au taux d’insuline bas durant lesquelles il puise dans les cellules graisseuses.

En mangeant fréquemment la glycémie varie en créant des pics. Pour s’adapter le corps produit à chaque fois de l’insuline et la graisse est stockée.[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width=”1/2″][vc_column_text css=”.vc_custom_1463580196703{margin-bottom: 5px !important;}”]

Plusieurs noms pour un même principe

Le jeûne intermittent est un terme avant-gardiste. Et le jeûne sur une courte de période est la nouvelle mégatendance qui se répand depuis les Etats-Unis et qui comptent de plus en plus d’adaptes. A cela rien d’étonnant, car ne rien manger pendant 10 à 12h durant la nuit, semble beaucoup plus facile que de compter péniblement les calories. « Plus la période de jeûne nocturne est longue, plus on brûle de graisses » explique la chercheuse en nutrition, Elisabeth Lange, allemande et auteur de livres sur la diététique. Elle appelle le jeûne intermittent « Uhr-Diät » (1) et explique dans son dernier livre, comment réapprendre à s’alimenter en fonction de son horloge interne, car notre rythme de vie moderne a fini par fausser ce mécanisme naturel du fond des âges.

(1)Traduisez par« Régime horaire »

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column css=”.vc_custom_1463577224708{margin-bottom: 5px !important;background-color: #caed61 !important;border-radius: 5px !important;}” offset=”vc_hidden-lg vc_hidden-md”][vc_column_text]

Les Hormones

La Cortisol : L’hormone de stress joue également un rôle prépondérant dans la régulation du stock d’hydrates de carbone et l’élimination des protéines. C’est le matin que son taux est le plus élevé.

La Ghréline : Cette hormone régule la sensation de faim et est produite par la paroi stomacale de manière régulière, (toutes les 6 heures).

La Leptine : C’est l’hormone coupe-faim qui provient des cellules graisseuses. Elle agit surtout la nuit, quand les réserves du corps se réduisent. Les taux les plus élevés sont enregistrés dans la deuxième moitié de la nuit.

L’insuline : Cette hormone du pancréas est produite indépendamment du rythme de la ghréline et de la leptine. Sa concentration la plus forte est observée le matin. Son taux diminue tout au long de la journée. De la même manière elle se régule en fonction de la sensibilité des cellules réceptrices. Indépendamment de ces rythmes, le facteur le plus fort pour la production d’insuline, c’est la prise de nourriture.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column css=”.vc_custom_1463577239152{margin-bottom: 5px !important;background-color: #fffaa5 !important;border-radius: 5px !important;}” offset=”vc_hidden-lg vc_hidden-md”][vc_column_text css=”.vc_custom_1463153841980{background-color: #fffaa5 !important;}”]

Les effets sur le corps de grandes pauses entre les repas

La force de résistance : Une alimentation restreinte pendant un temps limité crée un léger stress pour notre organisme et renforce notre résistance et nos cellules nerveuses.

Métabolisme : Après quelques temps les réserves graisseuses sont mobilisées pour augmenter l’énergie disponible. Les problèmes métaboliques et les troubles de la circulation sanguine s’améliorent.

Elimination: Les molécules indésirables stockées dans nos cellules sont éliminées plus facilement.

Inflammation : Le jeûne intermittent aide à combattre les inflammations chroniques. Les chercheurs ont émis l’hypothèse qu’il aiderait également à combattre l’asthme et les rhumatismes.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column css=”.vc_custom_1463577280065{margin-bottom: 5px !important;background-color: #b485e2 !important;border-radius: 5px !important;}” offset=”vc_hidden-lg vc_hidden-md”][vc_column_text css=”.vc_custom_1463153667301{background-color: #b485e2 !important;}”]

Métabolisme Basal et Dépense énergétique journalière

Métabolisme de base (basal)

C’est l’énergie dont le corps à besoin pour une période de 24h pour assurer les fonctions métaboliques vitales correctement.

La règle de base pour calculer le métabolisme de base en Kcal est la suivante :  

 POIDS x 24 = METABOLISME DE BASE EN KCAL

Dépense énergétique journalière

C’est l’énergie dont le corps a besoin pour l’ensemble des activités (mouvements corporels, croissance, maintien de la masse corporelle). Elle est intimement liée au mode de vie individuel.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column css=”.vc_custom_1463577312490{margin-bottom: 5px !important;background-color: #fff468 !important;border-radius: 5px !important;}” offset=”vc_hidden-lg vc_hidden-md”][vc_column_text css=”.vc_custom_1463155834149{background-color: #fff468 !important;}”]

La glycémie

La glycémie correspond au taux de sucre dans le sang. Après un repas la glycémie augmente plus ou moins par à-coups. Plus l’augmentation est forte, plus le corps verse de l’insuline afin de réduire le taux glycémique. Le sucre est alors stocké dans les tissues graisseux

Par la prise de trois repas par jour la glycémie varie moins. Le corps bénéficie de phases au taux d’insuline bas durant lesquelles il puise dans les cellules graisseuses.

En mangeant fréquemment la glycémie varie en créant des pics. Pour s’adapter le corps produit à chaque fois de l’insuline et la graisse est stockée.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row css=”.vc_custom_1463579386291{margin-top: 5px !important;}”][vc_column][vc_column_text]Article d’Ingrig Teufl pour Kurier.at traduit de l’Allemand par Jessica Réa avec leur aimable autorisation.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

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