Depuis la publication, en février 2012, d’une étude expérimentale évaluant chez la souris l’effet du jeûne sur des tumeurs cancéreuses (Lee, 2012. Fasting cycles retard growth of tumors and sensitize a range of cancer cell types to chemotherapy), de nombreuses personnes posent la question de l’intérêt de cette pratique chez les patients atteints de cancer.

Cette note a pour objectif de présenter l’étude réalisée, ses principaux résultats, et d’en éclairer l’interprétation.

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